1️⃣ Pourquoi le stress au retour de vacances me tombe toujours dessus (même après 3 mojitos par jour)
Le retour du choc post-vacances
Chaque année, c’est la même histoire. Je passe deux semaines à oublier l’heure qu’il est, à vivre pieds nus, cheveux salés, cerveau en mode off. Et puis, sans prévenir, bim ! Le stress au retour de vacances me saute à la gorge comme une facture oubliée.
Un matin, je me lève, je regarde ma boîte mail exploser, ma to-do list me faire les gros yeux, et là…c’est le choc post-vacances. Brutal. Presque violent. Comme si la réalité m’attendait en embuscade, avec un mug de café tiède et des réunions planifiées à 8h30.
Le blues du retour de vacances (ou comment j’ai pleuré devant mon agenda)
Je ne vais pas vous mentir : le blues du retour de vacances, je le connais bien. Trop bien. Il m’a déjà poussée à pleurer devant un agenda, à googler « comment changer de vie en 3 jours ». Ou à envisager sérieusement de m’inscrire à un stage de poterie au fin fond de l’Ardèche.
Ce mal-être après les vacances, il ne vient pas tout de suite. Il se faufile doucement, entre la valise pas défaite et la lessive qui s’entasse. Il arrive quand on remet un jean (alors qu’on était si bien en paréo). Quand on entend à nouveau le mot “budget”. Quand on oublie le goût de la sieste.
Anxiété après les vacances : un cadeau surprise que je n’ai pas commandé
Il y a cette petite voix qui revient dans ma tête. Celle qui commence à lister toutes les urgences, toutes les attentes, tous les trucs qu’il aurait fallu anticiper. (mais que j’ai ignorés, évidemment, parce que c’était les vacances !).
Et voilà, en moins de deux jours, l’anxiété après les vacances s’installe. Je dors mal, je rumine, je doute. J’ai l’impression d’être repartie de zéro. C’est dingue comme 15 jours de bonheur peuvent créer autant de pression derrière.
Fatigue post-vacances : ironique, non ?
Le plus absurde dans cette histoire, c’est que je reviens de vacances… épuisée. Pas physiquement, non. Mais mentalement, je suis à plat. J’ai l’impression d’avoir laissé ma motivation entre deux transats. La fameuse fatigue post-vacances. Celle qui te donne envie de refaire une sieste juste après avoir rangé ton sac de plage.
Je me traîne, je procrastine, je fais semblant de bosser en scrollant des photos de mon voyage. Est-ce que ça compte comme productivité émotionnelle ? Non. Mais ça me fait du bien.
Le retour au travail stressant : mission impossible ?
Quand vient le moment de retourner au boulot,. J’ai l’impression de devoir escalader l’Everest… sans corde, sans entraînement, et en tongs. Le retour au travail stressant, c’est un classique chez moi.
Le simple fait de ré-ouvrir mon ordi me donne des palpitations. Je regarde mon écran comme si c’était une ancienne relation toxique. Je sais que je dois y retourner, mais j’ai peur de retomber dans mes vieux travers. Dans ce stress de reprise qui m’empoisonne l’existence à chaque rentrée.
Retour difficile après les vacances : une étape à ne pas sous-estimer
Ce retour difficile après les vacances, j’ai longtemps cru que c’était juste moi. Que j’étais trop sensible, pas assez organisée, pas assez “adulte”. Mais j’ai fini par comprendre que c’était universel. Que beaucoup de femmes ressentent ce stress post-vacances comme une dégringolade émotionnelle.
Et ce n’est pas juste une question de flemme. C’est une transition violente entre deux mondes. Le monde doux, lent, chaleureux des vacances… et le monde rigide, exigeant, souvent stressant du quotidien.
Conclusion de ce premier crash émotionnel
Le stress au retour de vacances, je l’ai vécu, revécu, parfois même anticipé (et ce n’est pas mieux). Mais j’ai appris à le reconnaître. À comprendre ses signaux. Et surtout, à ne plus culpabiliser de le ressentir.
Parce qu’il n’y a rien d’anormal à se sentir déphasée. À être triste, fatiguée, anxieuse, désorientée. Le blues du retour de vacances, ce n’est pas une faiblesse. C’est juste le signe qu’on a vraiment décroché. Et qu’on a besoin d’un sas de décompression avant de reprendre le cours de nos vies… sans perdre tout ce qu’on a gagné en sérénité sous le soleil.
2️⃣ Mes astuces anti-déprime après les vacances (testées en pyjama devant un écran noir)
🧘♀️ La méthode du sas de décompression
On ne sort pas de deux semaines de farniente comme d’une douche froide. Il me faut un sas. Un vrai. J’ai arrêté de rentrer la veille de la reprise. Mauvaise idée. Très mauvaise.
Depuis, je me laisse 48h. Juste pour moi. Pas pour ranger. Pas pour faire des lessives. Juste pour atterrir. C’est là que je digère doucement le stress au retour de vacances, sans me prendre la réalité de plein fouet.
Ces deux jours, c’est ma bulle anti-choc post-vacances. Je vis en pyjama, regarde des séries et ne parle à personne. C’est mon petit rituel pour éviter le blues du retour de vacances. Et franchement, ça change tout.
🐢 Replonger doucement dans la réalité
Je ne fais plus l’erreur de vouloir tout rattraper le lundi matin. Trop brutal. Trop violent. Le retour au travail stressant, je connais. Alors maintenant, je fais simple.
Le premier jour, je trie mes mails. Le deuxième, je organise mes priorités. Et seulement après… je commence à produire.
Ce rythme lent m’aide à diminuer l’anxiété après les vacances. Parce que la vérité, c’est que le monde ne va pas s’écrouler si je prends deux jours pour me réajuster. Même si mon boss pense que oui.
🌅 Ma routine du matin anti-fatigue post-vacances
Je l’avoue : pendant les vacances, ma seule routine du matin, c’était de choisir entre un jus d’orange ou un spritz. Mais à la rentrée, je reprends en douceur. J’évite les réveils trop secs. J’ajoute 15 minutes rien que pour moi.
Un thé. Une musique douce. Et surtout : pas de téléphone. C’est devenu mon arme secrète contre la fatigue post-vacances. Ça ne fait pas disparaître le stress au retour de vacances, mais ça l’apaise. Et moi avec.
✍️ Écrire ce que je ressens (au lieu de le ruminer)
Avant, je gardais tout en moi. Je faisais semblant que tout allait bien. Et puis un jour, j’ai craqué en larmes devant mon frigo vide. Depuis, j’écris. Juste pour moi.
Quelques lignes, chaque matin. Je pose mes pensées, mes angoisses, mes envies. C’est ma façon d’apprivoiser le mal-être après les vacances.
Et c’est fou comme ça fait du bien. Écrire, c’est comme allumer une lumière dans une pièce sombre. Ça donne de la clarté. Et parfois, une petite solution inattendue surgit.
Puisqu’on parle d’écriture, laisse-moi te présenter ma newsletter. En la rejoignant, comme les 80 membres déjà actifs, tu recevras des contenus exclusifs, un e-book, ainsi que de nombreuses astuces autour de la méditation et de la gestion du stress. Offre-toi un vrai moment de lâcher-prise dans ta semaine en nous rejoignant ici.
🍷 L’art de se faire plaisir sans culpabiliser
La tentation, après les vacances, c’est de “redevenir sérieuse”. Stopper les petits plaisirs. Revenir à la productivité absolue. Je dis non. Mille fois non.
J’ai décidé de continuer à me faire plaisir. Un bon bouquin. Un massage. Un repas que j’adore. Même un apéro en pleine semaine (oui, j’ose).
Ces moments-là sont mes alliés contre la déprime après les vacances. Ils me rappellent que la vie ne s’arrête pas parce que j’ai repris le boulot. Au contraire. Elle continue. Avec des bulles de douceur, au milieu du stress.
💡 Accepter que le retour soit difficile… et ne pas culpabiliser
Le plus dur, c’est d’accepter. Accepter que le retour difficile après les vacances, c’est normal. Ce n’est pas moi qui suis faible. Ce n’est pas une question de volonté.
C’est un vrai décalage. Une vraie transition. Et ça prend du temps.
Pendant longtemps, j’ai culpabilisé. Je voyais les autres reprendre à fond, tout sourire. Moi, j’étais au ralenti, plombée par un stress de reprise qui me collait à la peau.
Mais aujourd’hui, j’ai compris. Ce n’est pas une course. Ce n’est pas un test. C’est un chemin. Et chacun avance à son rythme.
📞 Parler (même si on n’en a pas envie)
C’est toujours quand je n’ai pas envie de parler que j’en ai le plus besoin. Un texto à une amie. Un vocal de 5 minutes. Juste pour dire “je galère”. Ça casse l’isolement.
Le stress au retour de vacances se nourrit du silence. Du repli. Du “je vais gérer seule”. Alors parfois, je force un peu. Je tends la main. Et souvent, l’autre me répond “moi aussi”.
C’est fou comme ces deux mots peuvent soulager.
En résumé : une bienveillance radicale
Aujourd’hui, je m’autorise à être douce avec moi-même. À ne pas être à 100%. À pleurer un peu. Et à rire aussi. Parce que oui, je le répète : le stress au retour de vacances, ce n’est pas juste une mauvaise humeur. C’est une vraie étape émotionnelle.
Alors je respire. J’écris. Je m’écoute. Je m’offre des plaisirs simples. Et j’accepte que cette transition fasse partie du voyage.
P.S. : Je ne l’ai pas mentionné plus tôt, mais on ne parle pas assez des bienfaits du sport sur le stress. Si tu veux en savoir plus, je t’ai préparé une liste de sports spécialement choisis pour leur effet anti-stress. Alors, enfile ta tenue de sport dès ce soir, mais avant, jette un œil à cette sélection !
3️⃣ Comment je survis à un retour au travail stressant sans m’enfuir en forêt (encore une fois)
Le syndrome du bureau en carton
Revenir au bureau, c’est un peu comme retrouver un ex toxique. Je connais les pièges. Je sais ce que ça va me faire. Et pourtant, j’y retourne.
Le retour au travail stressant, je le vis chaque année comme un petit drame intérieur. Je regarde mon écran, je vois les dossiers s’empiler, les messages s’accumuler, et mon cœur s’accélère. Bonjour le stress de reprise.
Le stress au retour de vacances, c’est pas juste une histoire de mails ou de réveil à 6h45. C’est un décalage violent entre mon moi détendu des vacances… et cette version tendue qui essaie de tout gérer d’un coup.
La to-do list qui me déteste
Ma première erreur ? Reprendre avec une to-do list démesurée. “Répondre à 87 mails”. “Faire le point avec 3 collègues”. “Organiser les réunions du mois”.
Résultat ? Je panique. Je procrastine. Et je finis par googler “comment devenir gardienne de chèvres en Lozère”.
Maintenant, je découpe. Je priorise. Trois tâches max par jour au début. Ça m’évite la crise de panique. Sans compter la déprime après les vacances et ce stress post-vacances qui adore me regarder crouler sous la pression.
Le piège du “retour à la normale”
On croit qu’il faut tout reprendre comme avant. Même rythme, même énergie et même productivité. Sauf que moi, je reviens d’un monde parallèle où le mot “agenda” n’existait plus.
Alors non, je ne peux pas redevenir une machine. Et c’est OK.
Accepter ce décalage, c’est ma première victoire contre le mal-être après les vacances. Je me donne du temps. Je me laisse tranquille. J’ajuste mon planning. Je respire. Et devine quoi ? Le monde ne s’écroule pas.
Créer des mini vacances dans le quotidien
Ce qui me sauve, ce sont les “mini vacances” intégrées à ma semaine. Un déjeuner dehors. Un bain chaud le mercredi soir. Un podcast feel-good.
Ce sont ces petites choses qui rendent le retour difficile après les vacances un peu moins brutal. C’est comme recréer des bulles d’été dans la grisaille du quotidien.
Et bizarrement, ça rend le stress au retour de vacances moins pesant. Parce que je sais que je peux encore ressentir du plaisir, même dans la routine.
L’humour comme bouée de secours
Parfois, je me parle à moi-même. Je dis des trucs comme “tu vas y arriver, championne” ou “si tu termines ce dossier, t’as droit à une raclette”.
C’est ridicule ? Oui. Est-ce que ça m’aide ? Aussi.
L’humour, c’est mon anti-anxiété après les vacances. Il m’empêche de sombrer. Il me rappelle que même quand c’est dur, je peux sourire. Et franchement, ça fait du bien.
Accepter le vide (et ne pas vouloir le remplir à tout prix)
Parfois, je rentre de vacances avec cette sensation de vide. Comme si quelque chose me manquait. L’insouciance ? Le soleil ? Le mojito à 11h du matin ?
Peu importe. Ce blues du retour de vacances, je le ressens dans mon corps. Il est là. Et je n’essaie plus de le masquer. Je le laisse passer.
Parce que ce vide, c’est aussi le signe que j’ai vécu quelque chose de beau. Et que mon cerveau a besoin de temps pour intégrer. Alors je ne le remplis pas à coup de stress ou d’activités. Je le respecte.
FAQ – Tout savoir sur le stress au retour de vacances (et comment le calmer)
1. Pourquoi le stress au retour de vacances est-il si fréquent ?
Le stress au retour de vacances est une réaction normale à un changement brutal de rythme. Passer de la détente à la pression du quotidien génère souvent un choc post-vacances. Accompagné d’un sentiment de perte, de fatigue post-vacances, voire de déprime.
2. Combien de temps dure le blues du retour de vacances ?
Cela dépend de chaque personne. En général, le blues du retour de vacances dure entre quelques jours et deux semaines. Il peut être plus intense si le retour au travail est stressant ou mal préparé.
3. Comment éviter l’anxiété après les vacances ?
Anticiper le retour est la clé. Laisser un ou deux jours avant la reprise, adopter un rythme doux et continuer à s’accorder du plaisir. Se sont des stratégies efficaces pour éviter l’anxiété après les vacances et le mal-être post-vacances.
4. Est-ce que le stress de reprise peut impacter la santé mentale ?
Oui, le stress de reprise intense peut provoquer des troubles du sommeil, de la concentration, voire un burn-out. Il est essentiel d’écouter son corps et de ne pas minimiser ce stress au retour de vacances.
5. Quels petits gestes aident à un retour moins difficile après les vacances ?
Faire une to-do list réaliste, se prévoir des moments de détente, parler de son ressenti, et maintenir un rythme progressif. Se sont des gestes simples qui diminuent le retour difficile après les vacances.
Je m'appelle Alex Cottier et j’ai créé DetoxDuStress pour partager des outils simples et concrets qui aident à retrouver un peu de calme au quotidien. Ici, je parle de stress, de respiration, de ralentissement… avec sincérité et bienveillance.
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