Ah, les vacances… Ce moment sacré où l’on rêve de repos, de soleil et de cocktails les pieds dans l’eau. Mais soyons honnêtes : parfois, au lieu de siroter un mojito en paix, je me retrouve à bouillir intérieurement. Tout cela parce que la valise ne ferme pas ou que le GPS s’entête à me perdre. Le comble ? Je stresse même en essayant de me détendre. Eh oui, gérer le stress en vacances, c’est devenu un art… que j’ai mis des années à apprivoiser (et que je maîtrise enfin, ou presque).
Si vous aussi vous avez déjà eu envie de rentrer chez vous avant même d’être arrivés à destination, rassurez-vous… vous n’êtes pas seul(e). Le stress du départ en vacances, les imprévus, les attentes irréalistes et les valises trop pleines. Avec ça on peut vite oublier que les congés sont censés nous reposer. J’ai longtemps été cette fille à cran dès le jour J, mais j’ai appris – parfois à mes dépens – à prévenir le stress des congés. Pour enfin profiter vraiment.
Dans cet article, je vous livre tout : mes bourdes, mes astuces, mes échecs hilarants et mes réussites zen. Ensemble, on va voir comment gérer le stress en vacances et apaiser l’anxiété en voyage. Mais surtout, comment retrouver ce mental apaisé qu’on mérite toutes après des mois à courir dans tous les sens.
Spoiler alert : ce n’est pas une question de destination, mais d’état d’esprit. Et promis, ça peut même être drôle !
🧳Avant même le départ : comment j’ai appris à gérer le stress en vacances dès la valise
Je vais être honnête avec vous : pendant longtemps, j’ai cru que les vacances allaient, comme par magie, faire disparaître le stress. Comme si, en posant mes valises à l’aéroport, j’allais aussi déposer mes soucis.
Chaque année, c’était la même comédie. Une semaine avant le départ, j’étais déjà en mode panique. Est-ce que j’ai réservé le bon hôtel ? Est-ce qu’on aura du réseau là-bas ? Et si j’oublie mon chargeur, mon maillot, ou pire, mon passeport ? Bref, le stress du départ en vacances me collait à la peau. Et devinez quoi ? Je gardait cette tension sur la plage, dans la file d’attente du musée, et même en dégustant une glace italienne.
Gérer le stress avant le départ :
Respirer
Pour moi, a commencé bien avant d’enfiler mes tongs. J’ai dû revoir ma façon de préparer mes congés. Fini les plannings militaires, les “à faire absolument”, et les valises remplies. Comme si je partais survivre trois mois dans la jungle. Maintenant, je commence par une chose : respirer. Oui, respirer. Parce que pour prévenir le stress des congés, il faut déjà accepter qu’on ne peut pas tout contrôler.
Checklists
Je me suis aussi mise à faire des checklists. Mais les vraies, pas celles qui me donnaient envie de pleurer. Une liste pour la valise, une pour les documents, et une spéciale “trucs qui détendent l’esprit en vacances”. Mon livre préféré, une playlist chill, un carnet de notes, et même un petit spray à la lavande. J’appelle ça ma trousse de survie mentale anti-stress.
L’état d’esprit
Mais au-delà des objets, c’est surtout un état d’esprit que j’ai dû apprivoiser. J’ai compris que gérer le stress en vacances, c’était surtout apprendre à lâcher prise en vacances. À ne pas vouloir vivre des “vacances parfaites”. À accepter que le train ait du retard, ou que le resto tant recommandé soit fermé. C’est frustrant sur le moment, oui. Mais c’est aussi ça, la vraie aventure.
Il y a deux ans, par exemple, on devait partir à Lisbonne. À peine arrivés à l’aéroport, vol annulé. L’ancienne moi aurait fondu en larmes ou harcelé la compagnie aérienne. Mais cette fois-là, j’ai inspiré, expiré, et on est partis sur un coup de tête à Marseille. Résultat ? Un séjour improvisé, certes, mais un des plus beaux voyages en paix que j’ai faits. Mon mental apaisé en vacances m’a remerciée.
Le plus dur, finalement, c’est cette pression invisible qu’on se met pour profiter à tout prix. Comme si nos congés étaient une mission spéciale pour atteindre la détente absolue. Mais en réalité, le vrai luxe, c’est de soulager la tension en voyage, pas de la remplacer par d’autres exigences.
Depuis, je vois la préparation des vacances comme le début du voyage, pas comme une corvée. Je me laisse plus de temps, je simplifie mes bagages, et surtout, je me donne le droit de changer d’avis. Si on devait partir à la mer mais qu’au dernier moment, on préfère la montagne ? Eh bien, pourquoi pas. C’est aussi comme ça que j’ai découvert les séjours anti-stress en pleine nature. Sans wifi, mais avec beaucoup de paix intérieure.
Ma première étape
Réduire le stress pendant les vacances commence par cette première étape : écouter ses besoins, pas les diktats Instagram. Ce n’est pas grave si vos vacances ne ressemblent pas à un magazine de voyage. Ce qui compte, c’est de retrouver la sérénité en voyage, dès les premiers préparatifs.
Et franchement, depuis que j’ai arrêté de courir après la perfection, mes vacances sont plus douces. Plus vraies. Vacances relaxantes, pour moi, ce n’est plus une promesse marketing, c’est une réalité que je construis, pas à pas. Et je vous jure, il n’y a rien de plus agréable que de partir avec un cœur léger et un sac pas trop lourd.
Alors si vous vous reconnaissez dans la fille qui stresse à la moindre fermeture éclair cassée, respirez. On peut toutes gérer le stress en vacances. Ça commence juste… maintenant.
🏖️ Sur place : mes astuces imparables pour réduire le stress pendant les vacances (testées et approuvées !)
Bon, une fois la valise (presque) fermée sans pleurer et le trajet fait sans crise de nerfs (ou presque), je croyais naïvement que le plus dur était derrière moi. Que nenni ! C’est sur place que le vrai défi commence : gérer le stress en vacances quand on est censée se détendre.
Je vous raconte ? Première matinée à Rome. Soleil radieux. Petit déjeuner à l’italienne. Jus d’orange pressé. Et là… mon compagnon me lance : « Tu veux commencer par le Vatican ou le Colisée ? » Je sens la panique monter. Une heures plus tard, on est toujours en train de débattre. Ambiance tendue. Et voilà comment le stress vacances débarque dès le jour 1. Belle performance.
Gérer le stress sur place :
Ne pas vouloir tout faire
J’ai fini par comprendre que pour réduire le stress pendant les vacances, il fallait surtout… ne pas vouloir tout faire. Oui, moi aussi j’ai été cette touriste avec un programme minute par minute, jusqu’à la pause pipi. Grave erreur. Maintenant, je me laisse des matinées sans rien de prévu. Je me promène, flâne, regarde les gens vivre. Je respire.
Slow-voyage
Parce que détendre l’esprit en vacances, ce n’est pas cocher une to-do list de monuments. C’est lâcher le timing. Accepter que parfois, la meilleure journée, c’est celle où on n’a rien fait d’extraordinaire. Juste être là, présente. Posée. Pas en train de courir. J’ai même inventé un concept : le « slow-voyage ». Une sorte de séjour anti-stress, où tout est optionnel. Et vous savez quoi ? Ça fonctionne.
Dire non
Un autre truc qui m’a sauvé : dire non. Oui, même en vacances. Surtout en vacances. Non à la troisième activité du jour. Non aux sorties imposées avec tatie Monique. Et non au resto trop chic qui me stresse plus qu’il ne me détend. Apprendre à lâcher prise en vacances, c’est ça aussi. Choisir ce qui nous fait du bien. Et laisser le reste.
Slow-morning
J’ai aussi instauré un petit rituel perso. Chaque matin, je m’offre 10 minutes. Juste pour moi. Café à la main. Carnet sur les genoux. J’écris ce que je ressens. Ce que j’attends de la journée. Parfois, je ne note qu’une chose : rester zen. Ça m’aide à retrouver la sérénité en voyage, à poser mes intentions. À calmer ce mental qui veut toujours tout contrôler.
Respiration
Et puis, il y a la respiration. Oui, je sais, ça fait cliché. Mais ça change tout. Quand je sens l’agacement monter (par exemple quand mon compagnon veut un hot-dog à 9h du matin), je respire. Lentement. Profondément. Trois fois. Et je me rappelle que je suis en vacances. Que mon but, c’est de voyager en paix. Pas de remporter le prix Nobel de la patience.
Fake-yoga
Autre leçon apprise sur le tas : soulager la tension en voyage passe aussi par le corps. Alors j’embarque toujours une tenue de yoga. Même si je ne fais qu’un étirement ou deux le matin, ça me change la journée. Et quand j’ai la chance d’être près de la mer, je marche les pieds dans l’eau. Simple. Naturel. Mais tellement efficace pour apaiser l’anxiété en vacances.
P.S. si tu souhaites découvrir la méditation au soleil pour cet été, j’ai rédigé un article qui t’explique tout : dangers, durée, positions, etc.Alors clique ici pour en savoir plus
Détox digitale
J’évite aussi, autant que possible, les écrans. Je sais, plus facile à dire qu’à faire. Mais couper les notifications, désactiver les emails pro, c’est une des clés pour un vrai mental apaisé en vacances. Rien ne m’empêche de poster une jolie photo à l’occasion. Mais je refuse de passer mes soirées à scroller en mode automatique. Mon cerveau mérite mieux.
Comparaison
Et surtout, j’ai arrêté de me comparer. Le couple dans la chambre voisine fait des randos à 6h du matin ? Super pour eux. Mais moi, je dors. Parce que c’est ça mon programme bien-être. Et parce que comment rester zen en vacances, ça dépend de chacun. L’important, c’est de s’écouter. Pas de performer.
Et quand tout va bien ?
Je crois qu’on oublie trop souvent qu’il faut aussi gérer le stress en vacances quand tout va bien. Oui, même les moments heureux peuvent être épuisants. Il y a quelques années, à Barcelone, tout se passait à merveille. Trop, peut-être. J’étais survoltée. Résultat : fatigue nerveuse, maux de tête, irritabilité. Depuis, je sais qu’il faut ralentir même quand tout roule. Le bonheur, ça se savoure.
Aujourd’hui, mes vacances ne sont pas parfaites. Il y a encore des ratés, des galères, des moments où je m’agace. Mais globalement, elles sont plus douces. Plus vraies. Et surtout, elles me ressemblent. Parce que je ne cherche plus à prouver quoi que ce soit. Je cherche juste à me faire du bien. Et à réduire le stress pendant les vacances, un petit pas à la fois.
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☀️ Et après ? Ce que mes vacances zen m’ont appris pour enfin voyager en paix (et rester zen jusqu’au retour)
C’est drôle comme on prépare nos vacances des semaines à l’avance, mais qu’on ne pense jamais à l’après. Le retour. Le fameux. Celui qui te saute à la gorge à peine la valise posée dans l’entrée. Moi, je l’appelais “la dégringolade”. Tu sais, ce moment où tout retombe, où le stress revient au galop. Comme s’il avait attendu sagement sur le paillasson. Eh bien, c’est là que j’ai compris que gérer le stress en vacances, c’est aussi savoir en garder les bienfaits une fois rentrée.
Retour = stress
Avant, c’était automatique : retour = stress. Mails en retard, lessives, boulot, et l’angoisse qui revient à la vitesse d’un TGV. Et pourtant… j’étais censée être reposée, non ? C’est là que j’ai commencé à me poser de vraies questions. Pourquoi est-ce que je perdais en 48h tout le bénéfice de deux semaines de vacances relaxantes ? Pourquoi cette impression de ne jamais vraiment en profiter ? J’ai réalisé qu’il fallait prolonger l’esprit des vacances. Le faire vivre au quotidien.
Une journée atterrissage
Aujourd’hui, quand je rentre, je me prévois une journée tampon. Une journée rien que pour moi. Sans rendez-vous. Sans obligations. Juste pour apaiser l’anxiété en vacances qui traîne parfois dans les bagages. Cette journée, c’est mon atterrissage en douceur. Mon sas de décompression. J’en profite pour revoir mes photos, me faire un masque visage, trier mes souvenirs. Je me reconnecte à ce que j’ai vécu. Et je m’en imprègne.
Garder une ou deux habitudes
Un autre truc que je fais : j’intègre à mon quotidien au moins une habitude découverte en vacances. Par exemple, après un séjour anti-stress au Portugal, j’ai gardé l’idée du petit café en terrasse, seule, le matin. Juste dix minutes. Ce moment m’aide à détendre l’esprit, à me reconnecter. C’est fou comme une simple routine peut changer l’ambiance d’une journée.
Les attentes
Et puis, j’ai appris à revoir mes attentes. Avant, je voulais que les vacances me réparent. Comme une sorte de “reset magique”. Maintenant, je sais que ce n’est pas leur rôle. Les congés ne sont pas un patch miracle. Ils ne remplacent pas une vraie hygiène de vie, ni une meilleure gestion du quotidien. En fait, gérer le stress en vacances, c’est apprendre à l’apprivoiser toute l’année. Les vacances, elles, sont juste un tremplin. Une piqûre de rappel.
Raconter
Ce qui m’aide aussi, c’est d’en parler. Avec mes proches. Je leur raconte mes bons moments, mais aussi mes petites galères. Ça m’aide à relativiser. À en rire, souvent. Et surtout, à voir que je ne suis pas la seule à galérer à prévenir le stress des congés. Parce qu’on a beau faire des efforts, le stress vacances, ça touche tout le monde. Même les plus organisés.
Carnet de bord
Je tiens aussi un petit carnet. Rien de très sérieux. Juste des pensées, des anecdotes, des émotions vécues en voyage. C’est mon trésor. Mon antidote pour les jours gris. Parfois, je le relis en plein mois de novembre, et pouf ! Le soleil revient un peu. C’est ma manière de retrouver la sérénité en voyage, même sans quitter mon salon.
Photos imprimées
Ah, et le grand classique : les photos ! Mais pas celles postées à la va-vite sur Instagram. Celles qu’on imprime. Qu’on regarde. Qu’on commente autour d’un thé. Parce que revivre un moment de calme, de rire ou de beauté, c’est déjà une façon de soulager la tension en voyage… à distance.
Mini-vacances mentales
Enfin, j’ai appris à m’offrir des mini-vacances mentales. Ça peut paraître étrange, mais marcher seule dans un parc avec ma musique, ça me transporte ailleurs. Comme une échappée belle de 30 minutes. Et ça, c’est précieux. Parce que voyager en paix, ce n’est pas forcément partir loin. C’est surtout s’accorder du répit. Du silence. Du souffle.
Je crois que le plus beau cadeau que mes vacances m’ont fait, c’est cette leçon. Comment rester zen en vacances, c’est aussi comment rester zen tout court. Ce n’est pas une question de destination, mais de disposition intérieure. De posture. De choix. Et ça, je peux le cultiver chaque jour.
Alors oui, mes vacances ne sont plus comme avant. Elles sont moins pleines, moins cadrées, mais tellement plus riches. Elles m’apprennent à gérer le stress en vacances, mais surtout à mieux me connaître. À mieux m’écouter. À accepter mes limites. Et à vivre avec plus de douceur.
Si vous aussi, vous avez connu ce retour brutal à la réalité, posez-vous cette question : Et si je ramenais un peu de vacances avec moi, chaque jour ? Pas une valise pleine de sable, mais un état d’esprit. Une façon de ralentir. De savourer. De respirer.
Parce que le vrai luxe aujourd’hui, ce n’est pas d’aller loin. C’est d’être bien. Et ça, croyez-moi, c’est le plus beau des souvenirs de voyage.
Ecris-moi en commentaire ta pire anecdote en vacances, qu’on rigole un peu…
Je m'appelle Alex Cottier et j’ai créé DetoxDuStress pour partager des outils simples et concrets qui aident à retrouver un peu de calme au quotidien. Ici, je parle de stress, de respiration, de ralentissement… avec sincérité et bienveillance.
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